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Mahnaz Doustikhah dans cette série, manipule avant tout la résine, sous toutes ces formes. Cette matière chimique, à l’aspect pétrole ; réminiscence de ces souvenirs provenant de l’enfance, mais aussi des débordements non contrôlés, liés à des facteurs humains. Chaque pièce réalisée, part de la notion de l’infiniment grand pour aller vers l’infiniment petit. L’aspect cellulaire de son travail est une ode à la vie même cristallisé dans la résine. Celle-ci se doit de continuer d’exister, de vibrer, car elle détourne la matière et se joue d’elle pour en dévoiler toute la poésie. Elle nous donne ainsi à voir des éclatements de lumière et de joie de vivre.

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